Elsa lunghini par Daniela

Lecteurs et internautes du magazine Télépro et de telepro.be connaissent bien le pilote automobile Pierre-Yves Rosoux, qui enflamme le BTCS au volant de sa Seat aux couleurs de Télépro. Saviez-vous que lorsqu'il n'est pas retenu par la compétition, Pierre-Yves participe au tournage de films et téléfilms ("Michel Vaillant" ou " Taxi 4", par exemple) ? Comme cascadeur automobile, bien sûr. Dernier téléfilm en date ? "Aveugle mais pas trop", avec Bernard Le Coq et Elsa Lunghini, l'histoire d'un homme qui perd la vue après un accident de voiture. " Michel Julienne, le cascadeur (ndlr : fils de Rémy Julienne), m'a chargé de gérer les voitures de course engagées et d'effectuer des cascades", expliquait Pierre-Yves dans une interview accordée en avril (lisez-la sur telepro.be). Impatient de voir le résultat à l'écran ? Découvrez cette fiction mercredi 26 août 2009 à 20h20, sur La Une (puis lundi 14 septembre sur TF1à 20h45)...

À noter que sur TF1, cette diffusion sera la première d'une fiction en audiodescription. Cette technique, destinée aux malvoyants et non-voyants, consiste à insérer une voix off pour expliquer l'image et décrire les éléments visuels de la scène et de l'action en profitant des blancs des dialogues. Il faut disposer d'un boîtier TNT pour y accéder.

Publié par telepro.be - Mercredi 26 août 2009

Aveugle mais pas trop

Résumé : Vincent a toujours pensé davantage à lui qu'aux autres... Aux femmes en général, plutôt qu'à sa femme en particulier, par exemple. À 50 ans, il était temps que le destin s'occupe de lui et le remette dans le droit chemin. Quand Vincent est victime d'un accident de voiture et se réveille à l'hôpital, il a perdu la vue.

Notre avis : Dans cette sympathique comédie, Bernard Le Coq interprète un égoïste qui s'ouvre aux autres à la suite d'un drame. Il partage l'affiche avec la chanteuse Elsa.

Publié par tv.telepro.be - Mercredi 26 août 2009

Aveugle mais pas trop

Un jour, faudra vraiment penser à écrire un papier sur les titres de téléfilms français, qui rivalisent de platitude dans leur volonté de ne pas laisser planer le moindre doute quant à la teneur de l’œuvre qu’ils désignent - des fois qu’on pourrait être déstabilisé. Celui-ci, affublant une comédie, "Aveugle mais pas trop" (La Une, 20h20), laissait entrevoir peu de choses excitantes, mis à part peut-être un certain comique de situation dû à des chutes dans les escaliers, des quiproquos alimentaires, des mensonges gros comme des maisons

C’était juger un peu vite le téléfilm. Qui débute assez mal, ceci dit - pour le héros comme pour le téléspectateur. Avec un beauf qui drague à tout-va dans un mariage, une palourde toxique gobée sur un coin de table, un malaise en voiture, sur le chemin du retour, un camion qui ne tient pas sa droite, un impact, un traumatisme crânien et un réveil dans le noir le plus complet, à l’hôpital.

Vincent est diagnostiqué aveugle, définitivement. Il intègre un centre pour malvoyants, où l’on va lui réapprendre les gestes quotidiens qu’il ne maîtrise plus. Vincent, qui s’est mué en chien enragé par le désespoir, n’a plus goût à rien. Sauf à un poème d’amour dont il se passe l’enregistrement en boucle sur son transistor. Il tombe amoureux de cette voix de femme, douce et chaude, porteuse d’une telle tristesse La narratrice s’appelle Emma, elle est thérapeute au centre. Vincent se décide donc à sortir de son isolement, pour suivre ses ateliers de motricité.

C’est donc d’amour dont on parle ici. D’une vraie, d’une belle histoire d’amour lacrymale. Mais on aborde aussi l’amitié, à travers les liens qui unissent Vincent à Alfred, compagnon de galère qui, aveugle de naissance, ignore jusqu’au principe des couleurs. Enfin, "Aveugle mais pas trop" évoque le fossé qui sépare parfois les infirmes des bien-portants, le déficit d’empathie des seconds, les incompréhensions mutuelles

Tout un programme, pour un petit téléfilm sans prétention comme on les aime, auquel d’excellents comédiens (Elsa Lunghini, Bernard Le Coq et Stéphane Debac en tête) apportent une chair et un sang qui parlent au cœur. Alors oui, les émotions y sont faciles et le happy end dégoulinant. Mais non, ce n’est pas grave. Enfin, pas trop.

Publié par My. L. de lalibre.be - Mercredi 26 août 2009

Aveugle mais pas trop

Comment réapprendre à vivre quand on se retrouve aveugle du jour au lendemain ? Mais surtout, comment accepter son sort quand on est un type égoïste et colérique comme Vincent ? La RTBF invite ses téléspectateurs à le découvrir ce soir dans la comédie inédite qu'elle a coproduite : Aveugle mais pas trop.

C'est avec humour et romantisme que ce téléfilm de Charlotte Brandstrom aborde le thème de l'aveuglement. Parce que c'est bien d'aveuglement, plus que de cécité, dont il est question ici. Car Vincent a beau avoir tous ses sens au début du film, il ne voit que ce qu'il l'intéresse.

Photographe dans la cinquantaine, il n'attend d'ailleurs pas la concrétisation de son divorce pour séduire les jolies femmes qui croisent son objectif. Jouant sur tous les fronts, tirant profit au maximum de son meilleur ami et de sa future ex-épouse, le personnage joué par Bernard Le Coq est antipathique, voire insupportable. Et puis soudain, une inoffensive petite palourde fait basculer sa vie. Le crustacé toxique le prive de sa vue et le plonge dans le néant.

Forcé d'intégrer un centre de rééducation pour non-voyant, Vincent fait d'abord preuve de mauvaise foi. Il refuse de participer aux ateliers, hurle ses caprices à qui veut bien les attendre, néglige son hygiène… Bref, il passe d'insupportable à exécrable.

Heureusement pour tout le monde, il rencontre Alfred, interprété par Stéphane Debac. Sa rencontre avec ce jeune aveugle dans la trentaine lui fait alors l'effet d'une douche froide. Animé d'une joie de vivre contagieuse et armé de quelques vérités déstabilisantes, Alfred parvient à ouvrir les yeux à Vincent. Tout à coup, c'est la naissance d'un duo rigolo que rien n'arrête.

Amitié donc au menu ce soir, mais aussi amour. Car Vincent s'éprend de sa thérapeute, dès qu'il entend sa voix. Celui qui choisissait jusqu'alors ses conquêtes en fonction de leur apparence n'accorde plus aucune importance au physique. Comment dit-on déjà ? L'amour rend aveugle ? Et si, étrangement, il avait fallu que Vincent devienne aveugle pour trouver l'amour ?

Publié par Stagiaire de lesoir.be - Mercredi 26 août 2009

Diffusion sur TF1 le 14 septembre 2009

AVEUGLE MAIS PAS TROP, comédie de 90 minutes, sera diffusée le lundi 14 septembre à 20h45 sur TF1. Un téléfilm accessible en Audiodescription.

Réalisé par Charlotte BRANDSTRÖM. Scénario et dialogues de Jean-Carol LARRIVE, Marie DU ROY et Pierre MONJANEL.

Avec Bernard LE COQ (Vincent), Stéphane DEBAC (Alfred), Elsa LUNGHINI (Emma), Christiane MILLET (Hélène), Michel BOMPOIL (Marc)...

L'histoire en quelques lignes : Vincent Bommel, 50 ans, a toujours pensé davantage à lui qu'aux autres. Il était grand temps qu'on le remette dans le droit chemin et c'est une palourde toxique qui va s'en charger. En privant Vincent de ses yeux, elle va l'obliger à s'ouvrir enfin à ceux qui croisent sa route, notamment un aveugle qui rêve de record de vitesse et une jolie thérapeute allergique au mensonge...

Aveugle mais pas trop ! est la première fiction télévisuelle française à bénéficier de l'audiodescription, une technique destinée aux aveugles et aux mal voyants qui leur permettra d'apprécier le film dans les meilleurs conditions possibles.

L'audiodescription consiste à insérer une voix off pour expliquer l'image et décrire tous les éléments visuels tels que les décors et l'action dès lors qu'il n'y a pas de répliques dans une scène. La personne non ou malvoyante bénéficie ainsi des dialogues normaux du film ainsi que de commentaires vocaux pour se représenter la scène lorsqu'il y a un " blanc des dialogues ". Les décodeurs TNT permettent d'accéder à l'audiodescription, par un simple paramétrage de la version audio.

Aveugle mais pas trop, avec Elsa et Bernard Le Coq (audiodescription)

Publié par Pascal de leblogtvnews.com - Lundi 24 août 2009

Elsa Lunghini dans “Aveugle mais pas trop” : Confidences sur “Emma”

Elsa Lunghini de retour au petit écran avec “Aveugle mais pas trop” sur TF1 le 14 septembre. Elsa joue Emma la thérapeute du centre pour aveugles qui va tomber amoureuse malgré elle de Vincent alias Bernard Le coq. Elsa Lunghini revient sur le pourquoi de l'acceptation de ce rôle dans “Aveugle mais pas trop” :

“J'ai voulu jouer Emma parce que j'ai trouvé le scénario séduisant, que Charlotte Brändström était la réalisatrice et que j'allais partager l'affiche avec Bernard Le Coq. Je l'avais rencontré à deux reprises dans un cadre privé, lors de dîners, et j'avais beaucoup aimé la personne. J'avais très envie de travailler avec lui. C'est un comédien brillant, qui a un talent monstre et qui peut tout jouer. Quel que soit son rôle, dans des comédies ou des films plus dramatiques, il possède une présence immense. Sur le plateau, il s'est montré extrêmement agréable et jouer avec lui m'a beaucoup aidée. De plus, Bernard possède un charme et une séduction naturelle, on peut facilement tomber amoureuse de lui ! Cela se ressent et fait qu'à l'écran, notre couple fonctionne très bien.”

Publié par lemag-vip.com - Mercredi 26 août 2009

Aveugle Mais Pas Trop : Fiction Rentrée TF1

Aveugle mais pas trop réalisé par Charlotte Brändström avec Bernard Le Coq (Vincent), Stéphane Debac (Alfred), Elsa Lunghini (Emma), Christiane Millet (Hélène), Michel Bompoil (Marc). Aveugle mais pas trop c'est l'histoire de Vincent Bommel, 50 ans, a toujours pensé davantage à lui qu'aux autres. Il était grand temps qu'on le remette dans le droit chemin et c'est une palourde toxique qui va s'en charger. Privé de ses yeux, Vincent va être obligé de s'ouvrir enfin à ceux qui croisent sa route, notamment un aveugle qui rêve de record de vitesse et une jolie thérapeute allergique au mensonge...

Publié par webobuzz.com - Jeudi 27 août 2009

Elsa Lunghini ouvre les yeux de Bernard Le Coq

Tourné en mars dernier, Aveugle mais pas trop marque le retour d'Elsa Lunghini sur les petits écrans.  Le 14 septembre prochain, en prime time, les téléspectateurs de TF1 découvriront ainsi cette nouvelle fiction inédite, sur un sujet des plus sensibles : la cécité. Aux côtés de l'ex-chanteuse, un visage bien connu de la Une, Bernard Le Coq. Ce dernier interprète Vincent Bommel, un homme égocentrique, qui perd la vue après avoir mangé une palourde toxique ( ! ). Un handicap qui va lui permettre de reprendre sa vie en main, notamment grâce à sa rencontre avec un aveugle rêvant de record de vitesse, et sa charmante thérapeute. A noter que ce téléfilm sera proposé en « audiodescription », une nouvelle technique destinée aux aveugles et aux malvoyants. Ce procédé consiste à insérer une voix off pour expliquer l'image et décrire les éléments visuels, tels que les décors et l'action.

Publié par Emilie Lopez de programme-tv.com - Jeudi 27 août 2009

Aveugle mais pas trop

Vincent Bommel, 50 ans, photographe frivole et menteur, a toujours pensé davantage à lui qu'aux autres. Il était grand temps qu'on le remette dans le droit chemin. C'est une palourde toxique qui s'en charge. En privant Vincent de ses yeux, elle va l'obliger enfin à s'ouvrir à ceux qui croisent sa route, notamment un aveugle qui rêve de record de vitesse et une jolie thérapeute allergique au mensonge.

L'avis des comédiens

Bernard Lecoq a tout de suite été emballé par ce rôle : "Jouer les crétins trop sûrs d'eux qui tombent de leur chaise, j'adore ça !"...

Mais jouer un aveugle ? C'était la première fois. "Je suis un acteur d'instinct qui perçoit les choses plus qu'il ne les réfléchit. J'ai appris à me positionner et à marcher avec une canne blanche. Le plus difficile a été de jouer sans voir. Je suis très content du résultat car c'est toujours difficile de faire une comédie sur un sujet grave."

Pour préparer le rôle d'Emma, Elsa Lunghini a lu et relu le scénario afin de mieux comprendre le personnage et travailler ses scènes. Elle a aussi suivi les conseils d'une véritable thérapeute recrutée comme conseillère technique. Sur le tournage, Elsa a surtout fait appel à son instinct. La comédienne avait déjà croisé Bernard Lecoq à deux reprises dans des soirées. Elle l'appréciait et avait très envie de travailler avec lui. "C'est un comédien brillant. Il a un talent énorme ! Il peut tout jouer... C'est agréable de tourner avec lui"

Publié sur citeartistes.com

Aveugle mais pas trop

TF1 diffusera le 14 septembre, une fiction de Charlotte Branström, “Aveugle, mais pas trop”, avec Bernard Lecoq, Stéphane Debac et Elsa Lunghini.

Stéphane Debac, qui avait incarné le juge Lambert dans “L'affaire Villemin” de Raoul Peck, y interprète un aveugle de naissance.

Diffusion le lundi 14 septembre à 20h45 sur TF1

Publié sur nouvelobs.com

« Aveugle mais pas trop » lundi 14 septembre sur TF1 !

Photographe frivole et menteur, Vincent Bommel a toujours pensé davantage à lui qu'aux autres. Il était grand temps qu'on le remette dans le droit chemin et c'est une palourde toxique qui va s'en charger !

Privé de ses yeux, Vincent se retrouve obligé de s'ouvrir enfin à ceux qui croisent sa route, notamment un aveugle qui rêve de record de vitesse et une jolie thérapeute allergique au mensonge...

Avec Bernard Le Coq, Elsa Lunghini...

Publié sur tf1pub.fr